The big national conference organized and micro-managed by the Cameroonian president, Paul Biya, had a difficult start, many delegates having not received a badge.
Most of those who do not wear badges are members of the opposition and, by all indications, may not be allowed to enter the conference center.
There is already a lot of apprehension and doubts about the intention of the government. Many who do not have a badge have their invitation, but security forces at the door simply do not buy their story.
In the meantime, many participants still question their security, especially those who have criticized the government.
Beaucoup craignent d'être arrêtés, le gouvernement de Yaoundé étant naturellement opposé à la critique. La semaine dernière, un journaliste populaire et un membre du clergé ont été arrêtés pour avoir exprimé son point de vue sur la conférence. Il est actuellement dans SED où il est interrogé.
Cependant, de nombreux groupes sont prêts à partager leurs points de vue et même à appeler à une discussion sur la séparation, ce qui a mis le pays sous les projecteurs pour toutes les mauvaises raisons.
L’avocat Felix Nkongho Agbor Balla est actuellement sur les lieux de la conférence et il est prêt à faire pression pour une structure fédérale qui donnera aux deux régions anglophones du pays l’autonomie dont elles ont besoin pour gérer leurs propres affaires.
It should be remembered that after meeting Prime Minister Dion Ngute, lawyer Felix Nkongho Agbor Balla called for a deep decentralization, which equates to federalism. an idea that has led many narrow-minded people to think that it supports the government's version of decentralization.
Source: Cameroonintelligentreport.com